En fait c’est pas mort du tout, c’est plein de vie, ça déborde même.
Joachim Latarjet accompagné d’un trombone, d’une guitare électrique, d’une basse et d’un tuba s’empare des textes de Charles Pennequin, grand poète excessif, hypnotique et excitant.
« J’ai très vite pris le pli de composer mes textes dans ma chambre et d’imaginer des concerts inoubliables dans ma tête, car je peux créer ainsi une symphonie pour moi seul dans ma tête, et je suis très ému d'être l’unique public de ce chef d’œuvre qui n’est jamais sorti de ma tête. »